Prévention de l’APLV
On ne supplémente pas un nouveau-né allaité avec une préparation pour nourrisson conventionnelle durant sa première semaine de vie.
La supplémentation augmente le risque d’APLV
📈 L’ingestion de protéines de lait de vache intactes augmente jusqu’à 16 fois le risque de développer une allergie aux protéines de lait de vache.
⁉️ Dans le contexte mondial d’augmentation continue des allergies, cela vaut la peine d’éviter, non ?
Prévention de l’APLV
On ne supplémente pas un nouveau-né allaité avec une préparation pour nourrisson conventionnelle durant sa première semaine de vie.
La supplémentation augmente le risque d’APLV
📈 L’ingestion de protéines de lait de vache intactes augmente jusqu’à 16 fois le risque de développer une allergie aux protéines de lait de vache.
⁉️ Dans le contexte mondial d’augmentation continue des allergies, cela vaut la peine d’éviter, non ?
Pas d’indication à supplémenter un nouveau-né allaité
Qui plus est, supplémenter tout court un nouveau-né en bonne santé, à terme est rarement nécessaires et peut-être préjudiciable pour la poursuite de l’allaitement.
🙅♀️ Il n’existe aucun consensus sur la fameuse perte de poids de plus 10% ou 12%.
Et quand bien même, cela ne constitue pas en soi une indication à la supplémentation, mais bien à l’évaluation de la situation et au soutien de l’allaitement.
Comment compléter un nouveau-né allaité ?
➡️ Si une supplémentation est malgré tout nécessaire, on devrait recourir
1. au lait exprimé de la maman ;
2. sinon, au lait issu de don ;
3. enfin, d’une préparation à base d’hydrolysat extensif.
🚀 Les recommandations existent, elles sont claires, elles doivent être connues pour que les pratiques changent.
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